dimanche 30 août 2020

LA RÉPRESSION ET LA TORTURE SE POURSUIVENT AU BÉLARUS

La contestation se poursuit dans la capitale.










Le président et dictateur du Bélarus, Alexandre Loukachenko qui dirige le pays d'une main de fer depuis 26 ans, a demandé à son grand ami, Vladimir Poutine, également président et dictateur de la Russie de l’aider à conserver le pouvoir. Peu importe les moyens utilisés: arrestations de manifestants, torture et détentions arbitraires 
(https://cutt.ly/wfccLAX).  Selon Loukachenko (un despote et un menteur), il s’agit «d’un complot occidental» pour le renverser. Poutine lui a conseillé d'expulser tous les journalistes occidentaux qui couvrent les manifestations répétitives au Bélarus. De façon à ce que la terrible répression ne soit pas connue du monde entier et pour éviter qu'il subisse des représailles des pays démocratiques. Ce que Loukachenko a commencé à faire. De plus, selon ce dernier, aucune discussion ne doit avoir lieu avec l’opposition à sa réelection truquée. Tout comme celle de Vladimir Poutine également truquée qui a fait arrêter, empoisonner (https://cutt.ly/jfcs7VO) ou tuer par ses agents secrets tous ses opposants politiques afin de rester au pouvoir jusqu'à la fin de sa vie. 

POUTINE VEUT SURTOUT PROTÉGER SON INFLUENCE 

Par ailleurs, il n’est pas surprenant que Vladimir Poutine soit parvenu à s’immiscer dans les dernières élections américaines en faveur de Donald Trump pour l’aider à se faire élire, tout comme il le fait présentement au Bélarus. Il craint que le Bélarus se démocratise comme l'a fait l'Ukraine et se tourne vers l'Occident, ce qui diminuerait l'influence de la Russie dans ce pays qu'il considère comme «sa propriété».

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