dimanche 24 janvier 2021

VLADIMIR POUTINE, UN DESPOTE MENTEUR QUI FERA TOUT POUR GARDER LE POUVOIR

 

Le président autoritaire et menteur de la Russie, Vladimir Poutine, ne veut aucune manifestation de contestation de son pouvoir absolu. Il veut garder secret le château et les nombreuses villas qu’il a acquis en cachette avec l’argent du peuple. Y compris de nombreux comptes secrets qu'ils possèdent à l'étranger. C’est pourquoi, il fera emprisonner pour plusieurs années son opposant, Alexeï Navalny, qu’il a tenté en vain de faire empoisonner et qui a survécu miraculeusement. 

L'Union européenne, le Canada et les États-Unis ont dénoncé son arrestation arbitraire après son retour triomphal en Russie.

Alexeï Navalny, une épine au pied de Vladimir Poutine.

Poutine, comme il l’a déjà affirmé, est un admirateur inconditionnel de l’ancien dictateur, Staline, qui a fait exécuté pendant son règne des millions de ses concitoyens qu’il considérait comme ses ennemis. C’est aussi un grand ami de l’ex-président américain, Donald Trump, un menteur et un manipulateur menacé de poursuites, même après son départ de la Maison blanche.

vendredi 22 janvier 2021

LA DÉMISSION DE LA GOUVERNEURE GÉNÉRALE ÉTAIT PRÉVISIBLE EN RAISON DE SON PASSÉ TROUBLE

 

L’ex-gouverneure générale du Canada, Julie Payette, a beau être astronaute, polyglotte et bardée de diplômes, il est clair qu’elle n’aurait jamais dû être nommée chef d’équipes d’abord au Centre des sciences de Montréal et encore moins, au gouvernement fédéral dans une si haute fonction. Fonction qui demande beaucoup de d’entregent, de politesse et de courtoisie.

Mme Payette  a été incompétente comme on l’a maintes fois entendu, en matière de communication et de relations humaines envers ses employés partout où elle a passé. Un rapport d’enquête indépendant l’a démontré pour son poste comme gouverneure générale. Mme Payette n’avait vraiment pas le choix de démissionner. Le premier ministre, Justin Trudeau, lui a fortement suggéré de le faire. S’il avait pris le temps de bien s’informer sur le passé de Mme Payette, M. Trudeau n’aurait pas été obligé de la «congédier» après l’avoir si vite nommée.